mardi 24 novembre 2015

BACHAR AL ASSAD DOIT PRENDRE LE CONTÔLE DES FRONTIÈRES SYRIENNES



PRÉSIDENT LÉGITIME DE SYRIE



SEUL LE PEUPLE SYRIEN A LE POUVOIR D’EN DISPOSER  DÉMOCRATIQUEMENT

Il est vraiment curieux que ceux qui se font les défenseurs absolus de leurs frontières comme c’est le cas pour la Turquie, Washington et tous leurs alliés, se moquent éperdument des frontières de la Syrie. Ils y entrent comme ils en ressortent comme ils veulent. Ils se comportent comme si le territoire leur appartenait déjà.

Cette situation peut se comprendre alors que la Syrie et son gouvernement n’étaient plus en mesure de combattre les envahisseurs et ces milliers de mercenaires terroristes, grassement payés, pour semer le trouble et prendre le contrôle des richesses. Maintenant que la Russie répond à l’appel du président légitime de ce pays, Bachar al Assad, les choses ne peuvent plus se poursuivre comme si de rien n’était. La Russie, avec sa force militaire aérienne est maintenant là pour faire respecter l’espace aérien de la Syrie et pour y combattre tous ces terroristes qui opèrent hors la loi et la Constitution du pays. C’est ce que M. Poutine appelle le renforcement des institutions démocratiques du pays.

Dans la situation actuelle, le temps est venu pour le président Assad de prendre les devants de la scène pour affirmer l’autorité de son gouvernement sur les frontières de la Syrie tant au niveau de l’espace aérien que de terre. Il lui revient d’établir les règles qui devront être respectées par tous ceux qui voudront se déplacer dans ces espaces. Ces règles concernent tout autant les terroristes que ceux qui les soutiennent d’une façon ou d’une autre.

Si certains pays souhaitent s’engager pour lutter contre les terroristes qui sèment la terreur dans le pays et défient les institutions démocratiques du pays, ils devront le faire en appui aux forces armées syriennes. C’est exactement ce que font présentement la Russie ainsi que l’Iran. Si la France et les États-Unis veulent participer à cette lutte qu’ils le fassent en coordinations avec le gouvernement et son armée. Le président Assad doit s’imposer, en tant que chef d’État et assumer les mesures à prendre en cas de non-respect de ces directives.

La Syrie n’est plus seule. La Russie et l’Iran sont déjà engagés à ses côtés et d’autres sont disposés à venir grossir cet appui qui a comme double objectif le renforcement des institutions démocratiques et la lutte contre tous les terroristes qui refusent de se soumettre aux  dispositions constitutionnelles du pays.

Le jour où les malveillants se verront bloqués aux frontières du pays avec leurs armes, leurs formateurs, leurs bombes et que les richesses du pays ne pourront plus sortir pour enrichir les mercenaires, les choses vont changer. Il faut que le poids de cette autorité soit assumé par le Président lui-même. Il lui reviendra de répondre de ses actions devant le Conseil de sécurité et l’Assemblée générale des Nations Unies.

Oscar Fortin
Le 25 novembre 2015

http://humanisme,blogspot.com

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